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06 août 2020

Une lumière sans danger : feu bleu pour l’Opel Grandland X

Une lumière sans danger : feu bleu pour l’Opel Grandland X
  • Evident : le feu bleu signale que la voiture roule purement à l’électrique
  • Le bleu est tendance : il éclaire l’intérieur de prototypes et de véhicules de série
  • Attentif : sécurité accrue grâce au feu bleu et aux clignotants avant à LED
  • Voir et être vu : 121 ans d’innovation dans l’éclairage automobile pour Opel

 

Lorsqu’un Opel Grandland X hybride rechargeable circule sur la route en mode électrique, il ne produit aucune émission et est silencieux. Désormais, il le fait savoir aux autres usagers et aux piétons avec une lumière bleue qui s’illumine dans le pare-brise, juste en dessous du rétroviseur intérieur. Lorsque le feu est au bleu, cela signifie que le moteur thermique est coupé et que le Grandland X fonctionne de manière purement électrique. Pour cela, il suffit au conducteur de sélectionner le réglage « Electrique » parmi les modes de conduite disponibles, et l’hybride passe automatiquement en mode électrique. La lumière bleue facilite également la tâche des agents de la force publique. Par exemple, lorsque le Grandland X circule dans des zones où seuls les véhicules de type E sont autorisés. Dans ce cas, il suffit d’un coup d’œil pour constater qu’une Opel roule en mode purement électrique.

Afin de garantir qu’il y ait toujours suffisamment de puissance disponible pour une conduite sans émissions en ville, le Grandland X hybride rechargeable est doté de la fonction « e-Save ». Cette fonction permet de conserver l’énergie électrique stockée dans la batterie haute tension pour une utilisation ultérieure, par exemple pour circuler dans des zones où seules les voitures électriques sont autorisées. Le conducteur peut régler cette fonction via l’écran tactile couleur du système d’infodivertissement, conservant partie ou totalité de l’énergie électrique disponible jusqu’à ce qu’elle soit nécessaire sur son trajet.

Opel propose le Grandland X en deux versions hybrides rechargeables :

  • L’Opel Grandland X est disponible en version hybride traction avant avec une puissance système allant jusqu’à 165 kW/224 ch (consommations WLTP1 : 1,5-1,4 l/100 km, émissions de CO2 34-31 g/km ; NEDC2 : 1,7-1,5 l/100 km, 37-35 g/km de CO2 ; valeurs corrélées, mixtes)
  • Et en version Opel Grandland X Hybrid4 : ce SUV compact offre une transmission électrique aux quatre roues et une puissance système pouvant atteindre 221 kW/300 ch (consommations WLTP1 : 1,4-1,3 l/100 km, émissions de CO2 32-29 g/km ; NEDC2 : 1,6-1,5 l/100 km, 36-34 g/km CO2 ; valeurs corrélées, mixtes).

 

Tendance : éclairage intérieur bleu dans les prototypes et en grande série

Un petit feu bleu sur l’hybride rechargeable Grandland X, un éclairage intérieur bleu, des lumières bleues sur les voitures de pompiers : la lumière bleue a une longue tradition chez Opel. Il y a déjà longtemps que le bleu clair fascine et inspire les designers Opel. Au salon de l’automobile de Francfort 2003, le sensationnel prototype Insignia annonçait le vocabulaire de design que la version de série allait arborer. Pour l’intérieur, Opel faisait appel à une nouvelle – pour l’époque – technologie d’éclairage : la LED, utilisée pour l’occasion dans un très beau bleu. La voiture suivante à oser le bleu était un prototype, l’Opel Vivaro Surf exposé au Salon de Francfort 2015, et destiné aux surfeurs. Un an plus tard, l’Opel Vivaro Sport faisait le choix en série d’un éclairage bleu pour le compartiment à bagages. Dans l’élégante Opel ADAM, les passagers pouvaient même choisir entre deux teintes de bleu.

Attentif : sécurité accrue grâce au feu bleu et aux clignotants avant à LED

Le bleu est traditionnellement la couleur des gyrophares des pompiers, de la police et des services d’intervention. Dès les années 1930, les camions de pompiers Opel Blitz disposaient de feux bleus, bien que ceux-ci soient encore fixes et orientés vers l’avant. Dans les années 1950, la circulation connaissait une croissance rapide, et pour augmenter l’effet d’alerte, apparaissait dès 1955 le gyrophare. Si les voitures de police équipées de rampes de toit lumineuses étaient déjà courantes aux Etats-Unis dans les années 70, comme on le voyait dans les thrillers, il a fallu attendre les années 80 pour que ces systèmes fassent leur apparition en Allemagne. C’est là que la « barre lumineuse bleue modulaire » a reçu sa désignation officielle « RTK 4-SL », qui signifie « Module sonore intégral avec commutation urbano-rurale du signal acoustique ». Grâce aux innovations en matière d’éclairage intervenus depuis les années 1990, les véhicules spéciaux Opel (OSV) ont peu encore progressés. Les spécialistes des versions spéciales ont ainsi créé des Zafira de police équipés de systèmes de signalisation spéciaux, des Movano de pompiers possédant des feux clignotants à l’avant et des Insignia pour les services médicaux d’urgence intégrant des flashs à LED dans le hayon ouvert.

Depuis, la technologie LED a envahi le marché. Elle offre un bilan énergétique particulièrement avantageux, une durée de vie plus longue et permet de réduire la taille des systèmes d’éclairage. Bien entendu, cela s’applique aussi et surtout aux phares. Avec l’éclairage matriciel adaptative IntelliLux LED®, Opel a démocratisé une innovation de premier plan et l’a proposée pour la première fois sur une compacte avec l’Astra. Cette lumière non éblouissante, mais brillante comme le jour, est désormais disponible de la citadine comme l’Opel Corsa à la grande routière comme l’Opel Insignia.

Voir et être vu : 121 ans d’innovations Opel dans l’éclairage automobile

La technologie de l’éclairage a toujours joué un rôle très particulier dans l’histoire des voitures de Rüsselsheim. Tout a commencé avec la première voiture à moteur de 1899, qui arborait de romantiques lanternes à bougie. Les débuts de l’automobile se firent plutôt dans le noir dès que la nuit tombait. Il s’agissait alors non pas d’éclairer la route, mais plus simplement de signaler la présence d’une automobile aux autres usagers de la route. A la fin du 19ème siècle, l’Opel Patentmotorwagen « System Lutzmann » apporta un progrès déterminant. Désormais, elle était équipée de ses propres lanternes, qu’il n’était plus nécessaire de porter. La bougie était montée dans un manche, surplombé par ce premier « phare », une lanterne équipée d’un miroir dans le fond et d’un verre sur le devant. Dans le manche, un ressort poussait la bougie pour que malgré la combustion qui la raccourcissait, elle soit toujours au même niveau et au centre du miroir. C’était une solution simple à faible coût, qui apportait un progrès décisif – bref, une solution typiquement Opel.

Opel Kapitän – une voiture de son temps

Opel a toujours été très fort sur le plan du design des phares. Les projecteurs de la Kapitän 1938 étaient intégrés aux ailes, mais de plus leur forme était hexagonale. Une voiture pour tout le monde, une « voiture de son temps », comme le revendiquait une brochure de 1938. Et la publication poursuivait : « l’Opel Kapitän sera une voiture qui ne se démodera pas dans les années à venir grâce à ses lignes modernes et son design d’avant-garde ».

Dans les années 1960, les designers ont poursuivi la quête de formes anguleuses pour les projecteurs. Opel était là aussi en avance en proposant sur la Kapitän A de 1964 et ses cousines Admiral et Diplomat des phares rectangulaires qui soulignaient l’aspect plat et large de l’avant. Rien d’étonnant à ce que les modèles Kapitän aient alors remporté un tel succès : puissantes, modernes et confortables, ces voitures restaient pourtant accessibles.

L’Opel GT a aussi été une grande innovatrice sur le plan du design. D’abord, par sa ligne, marquée par une forme connue sous le nom de « bouteille de Coke ». Mais cette mythique sportive fut aussi la première voiture allemande équipée de phares pivotants escamotables. Qui pouvait résister à ces phares que le public allemand a affectueusement appelé des « yeux dormeurs », car ils ressemblaient à ceux de ces poupées dont les paupières pouvaient se fermer ? Les projecteurs se relevaient grâce à un levier situé sur la console centrale. Des phares à iode implantés dans la calandre sous le pare-chocs les complétaient.

Plus de lumière, plus de visibilité avec les phares au xénon

L’Opel Omega B a été le premier modèle à offrir en série des phares au xénon dès 1998. Ils devaient leur nom au type de gaz avec lequel les ampoules étaient remplies. Par rapport aux phares à halogène communément utilisés à l’époque, l’intensité lumineuse triplait, ce qui leur donnait d’abord une meilleure portée, mais aussi un meilleur éclairage de la route. Et ils étaient beaucoup plus économiques : leur consommation d’énergie était un tiers inférieure, leur émission de chaleur plus faible de 40% et leur durée de vie beaucoup plus grande.

Avec ce type de phare était monté un correcteur d’assiette dynamique, qui stabilisait le faisceau. Le système était chargé de compenser les variations d’assiette de la carrosserie, si par exemple la voiture circulait lourdement chargée ou lors des phases d’accélération et de freinage. Ce qui avait pour conséquence d’avoir un faisceau d’illumination constant sur la route. Une fois de plus, Opel se plaçait à l’avant-garde des technologies d’éclairage, car il rendait abordable pour le plus grand public ce système sophistiqué.

L’AFL pour tout le monde sur une familiale

C’est donc en toute logique qu’Opel est devenu le premier constructeur automobile à offrir l’éclairage dynamique et l’éclairage statique pour intersections et virages serrés sur une familiale : en 2003, le système AFL (Adaptive Forward Lighting) arrivait sur les Opel Vectra et Opel Signum. Pour la première fois, une familiale était équipée du système d’éclairage novateur d’Opel, qui associait ces deux fonctions. L’AFL offrait une fonction de confort supplémentaire : l’éclairage autoroute. Aux vitesses supérieures à 120 km/h et en ligne droite constante, le faisceau des feux de croisement s’ajustait automatiquement pour remonter légèrement et permettre une meilleure vision longue distance afin d’optimiser la conduite. Le correcteur d’assiette des phares désormais monté en série se chargeait d’éviter tout éblouissement des conducteurs venant en sens inverse.

En 2004, l’Opel Astra était la première compacte à disposer de l’éclairage en virage. En 2006, la marque faisait progresser la sécurité en démocratisant largement le système d’éclairage en virage. Avec des projecteurs bi-halogène, il arrivait aussi sur le segment des citadines en équipant la Corsa, et sur celui des petits monospaces en étant disponible sur le Meriva.

L’AFL+, nouvelle génération de système d’éclairage Opel, a pris la suite. Equipé de puissants phares bi-xénon, il a fait ses débuts en 2008 avec le lancement de la première génération d’Insignia. Il changeait une fois de plus la donne dans le domaine de l’éclairage automobile. À l’aide d’algorithmes complexes, la répartition de la lumière des projecteurs était automatiquement adaptée aux profils de route et aux conditions de visibilité rencontrés. Le haut de gamme Opel offrait un total de neuf fonctions d’éclairage : ville, zone piétonne, route de campagne, autoroute, météo défavorable, intersection, virage dynamique, feux de route et assistant feux de route. L’Insignia inaugurait une autre innovation : les feux de jours à LED, consommant beaucoup moins d’électricité et de carburant que les veilleuses montées dans les projecteurs principaux.

Eclairage matriciel IntelliLux LED : voir comme en plein jour, mais sans éblouir

Le révolutionnaire éclairage matriciel IntelliLux à LED a été lancé en 2015 sur la génération actuelle de l’Opel Astra. Une fois de plus grâce à Opel, un équipement jusque-là réservé aux véhicules de luxe arrivait en catégorie compacte. Les projecteurs de la compacte à succès d’Opel sont dotés au total de 16 éléments à LED (huit de chaque côté), qui adaptent en permanence et automatiquement aux conditions de circulation la portée et la forme du faisceau lumineux. Ces puissants projecteurs ont aussi la particularité de pouvoir « découper » le faisceau lumineux pour ne pas éblouir les voitures venant en sens inverse. Ce système présente donc zéro effet d’éblouissement – tout en offrant une excellente visibilité. Ou comme le dit l’ambassadeur de la marque Opel Jürgen Klopp : « il y a autant de lumière que dans un stade de foot – sauf que personne n’est ébloui ».

Son fonctionnement est assez simple : dès que la voiture quitte les limites de la ville, les projecteurs matriciels passent automatiquement en feux de route et ils y restent. En revanche, ils adaptent en permanence la portée et la forme du faisceau lumineux. Ce système sophistiqué permet au conducteur et aux passagers de voir de nuit comme en plein jour sans déranger les autres usagers de la route. Opel propose le très moderne éclairage matriciel IntelliLux LED® sur la Corsa, l’Astra, l’Insignia et le nouveau Mokka.

Le sommet de l’évolution de ce type de projecteurs est actuellement l’éclairage IntelliLux LED® Pixel Light. Il sera bientôt dans la rue puisqu’il va équiper la nouvelle Insignia, le haut de gamme Opel, qui arrivera à l’automne. Jusqu’alors, les phares de l’Insignia comprenaient 32 éléments LED, qui offraient déjà une excellente visibilité dans l’obscurité. Sur la dernière version Pixel Light, ce sont 168 éléments LED qui sont désormais disponibles : Opel défriche encore le terrain parmi les constructeurs généralistes. Les phares réagissent encore plus rapidement et plus précisément qu’auparavant, ce qui améliore encore la visibilité.

Un éclairage économique et pourtant performant

Opel équipe également les Corsa, Astra et Crossland X d’un éclairage full-LED particulièrement performant. Les phares ne consomment chacun qu’entre 13 et 14 watts en mode feux de croisement. Cela correspond à une économie d’énergie de plus de 80% par rapport aux ampoules halogènes classiques, qui consomment environ 70 watts par projecteur en feux de croisement. Pourtant, les clients d’Opel n’y perdront rien en matière de rendement lumineux. Au contraire : grâce à une technologie spéciale de réflecteur, ces phares LED super économiques permettent aussi d’y voir la nuit comme en plein jour.

 


[1] L’autonomie, la consommation et les valeurs d’émissions de CO2 indiquées ont été déterminées selon la méthodologie de la procédure d’essai WLTP (R (CE) n° 715/2007, R (UE) n° 2017/1151). Les chiffres peuvent différer des données officielles de l’homologation finale.

[2] L’autonomie, la consommation et les émissions de CO2 ont été déterminées selon la méthodologie de la procédure d’essai WLTP, et les valeurs sont reconverties en NEDC pour permettre la comparaison avec d’autres véhicules, conformément aux directives R (CE) n° 715/2007, R (UE) n° 2017/1153 et R (UE) n° 2017/1151.

 

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